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Goldmann Sachs – La banque qui dirige le monde

reportage de ARTE du 4 septembre 2012 – rediffusion 19 et 20 septembre


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Best quality of Esoteric Agenda on Youtube

There is an Esoteric Agenda behind every facet of life that was once believed to be disconnected. There is an Elite faction guiding most every Political, Economic, Social, Corporate, some Non-Governmental or even Anti-Establishment Organizations. This film uses the hard work and research of professionals in every field helping to expose this agenda put the future of this planet back into the hands of the people.

EN: Part of the « Get the truth out in high quality » project at http://peace.hux.de
DE: Teil des « Verbreite die Wahrheit in high quality » Projects auf http://peace.hux.de

Subtitles in: Bulgarian, Czech, German, English (United States), Estonian, French, Croatian, Hebrew, Latvian, Polish, Portuguese (Brazil), Romanian, Serbian

The DVD is available on his website at http://talismanicidols.org/ or http://esotericagenda.net/


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Pour résumer l’affaire, le vol de 1000 milliards de dollars en bon du trésor est en fait un vol d’or.

La Chine avait confié cet or à la Federal Reserve en 1938 en échange de bons du trésor. Le but était de protéger leur réserve d’or lors de la guerre sino-japonaise (1937-1945). Cet or était supposé être restitué à ses propriétaires 60 ans après. En 1998, la Chine poursuit la Fed car la Fed refusait de redonner l’or à la Chine.

La Fed perdit en cour et s’engagea à envoyer la première livraison le 12 septembre 2001, et oui, le lendemain du 9/11. On parle ici d’une quantité d’or qui correspond à la cargaison de 7 vaisseaux de guerre.

Benjamin Fulford affirme que l’or se trouvait en bonne partie sous le World Trade Center. L’or aurait été évacué avant le 9/11.

Ainsi, la compagnie Cantor Fitzgerald Securities, qui s’occupait de cette entente, a été rayée de la carte dans l’explosion des tours jumelles ainsi que ses 600 employés et tous les documents et contrats qui officialisaient l’affaire. Le building 7 qui contenait tous les documents de la police de la Trésorerie a aussi été explosé avec tous les documents

 Le procès à 1000 milliards de dollars qui pourrait mettre fin à la tyrannie financière 1/4

 Cela pourrait être le récit le plus énorme et le plus explosif de notre histoire contemporaine. Nous sommes juste en train de commencer à rassembler les pièces du puzzle et à comprendre ce qui se passe sur la scène géopolitique de la finance occulte, et comment une alliance de 117 nations travaille à libérer la Terre de la tyrannie financière.

 [M.À.J., MATIN SUIVANT : Le jour même où cet article est sorti, Benjamin Fulford était soi-disant retenu contre sa volonté dans un hôtel par un groupe de type « CIA »… Et sa vie pourrait être en danger.

Cela l’a empêché d’apparaître dans une émission de télévision où il avait été invité. Les vidéos concernées sont en fin d’article. Cela pourrait être grave. Nous prions pour que Ben s’en sorte et vous encourageons à nous aider à faire passer le message. La publicité est notre meilleure protection !

 M.À.J., MÊME NUIT, 0:44 : Nous venons à l’instant d’apprendre que B. Fulford est vivant et en bonne santé. Il est possible qu’il ait été retenu dans l’hôtel pour sa propre sécurité, mais nous n’en savons encore rien. D’autres informations suivront à mesure que nous les recevrons et des M.À.J. seront faites ci-dessous.]

 M.À.J., MERCREDI 14 DÉC 2011., 15:48 : J’ai reçu de très graves menaces de mort, relayées par l’un de mes meilleurs insiders, qui m’a dit que ce serait « vraiment une bonne idée » que je publie la 2e partie de cet article ce soir. Je vais travailler sans m’arrêter pour remplir cet objectif. J’en dirai plus à la fin de l’article.

 M.À.J., MERCREDI 14 DÉC 2011., 17:43 : À tous les possesseurs de mon « Dossier Wilcock » : ne tentez PAS de me contacter par quelque moyen que ce soit. Vos instructions sont maintenant incluses dans les M.À.J. les plus récentes.

 

M.À.J., JEUDI 15 DÉC., 17:30 : Nous faisons notre maximum pour finir la 2e partie et nous avançons bien. David a été contacté par Coast To Coast et fera une brève apparition autour de 20:00, heure du Pacifique, pour vous donner une courte description de trois minutes de ce qui s’est passé. Cela accroîtra SUBSTANTIELLEMENT notre protection et notre sécurité.

 M.À.J., SAMEDI 17 DÉC., 17:15 : Mon téléphone n’a littéralement pas cessé de sonner depuis que j’ai fait ces déclarations. Je reçois des appels qui s’accumulent en attente alors que je tente d’en finir avec l’appel en cours. Tout cela m’a vraiment empêché de me concentrer !

Je pense que je ne suis plus en danger. Cet article a maintenant été consulté 350.000 fois et on m’a dit qu’au-delà de 200.000 fois, j’étais pratiquement assuré que personne n’en aurait plus après moi. Je fais mon maximum pour finir la 2e partie et je l’aurai probablement sortie demain.]

 IL EST BIEN POSSIBLE QUE CE SOIT LÀ LA MEILLEURE CHOSE QUI NOUS SOIT JAMAIS ARRIVÉE

En écrivant ces mots, je sais que le citoyen moyen va se trouver confronté à des informations dérangeantes, pour ne pas dire désastreuses.

Non seulement l’épouvantable débâcle financière de 2008 est-elle susceptible de se reproduire, mais cela pourrait en plus être bien plus grave cette fois-ci.

Les médias ont annoncé le 28 novembre 2011 que nous pourrions bien être à pas plus de dix jours d’un effondrement complet de l’Euro – et que celui-ci pourrait également entraîner le reste de l’économie mondiale dans son sillage.

 On a pourtant utilisé encore une fois une manœuvre de « renflouage » pour gagner du temps – sauf que cela a été insuffisant pour répondre au malaise qui tenaille les gens, particulièrement à un moment où des bruits de bottes se font à nouveau fortement entendre au Moyen-Orient.

C’est du moins ce que disent les médias officiels à propos de la situation – des affirmations fort heureusement dénuées de tout fondement.

En termes orwelliens classiques – tels que « La guerre, c’est la paix, la liberté, c’est l’esclavage, l’ignorance, c’est la force » – il se pourrait très bien que les cris d’orfraie de la presse officielle à propos d’un « effondrement financier planétaire » soient bien la meilleure chose qui nous soit jamais arrivée.

Tout au moins pour ce qui est de l’histoire connue et répertoriée.

UN TRÈS MYSTÉRIEUX, TRÈS DISCRET ET TRÈS GROS SCANDALE À GRANDE ÉCHELLE

Vous êtes sur le point de vous retrouver plongés dans une histoire qui, il y a de cela quelques temps maintenant, n’était guère autre chose qu’une idée qui sonnait comme grandiose – comme un merveilleux « Et si… ». Presque rien de cette histoire ne pouvait être trouvé dans la presse officielle.

L’origine pour le moins étrange de cette affaire a pourtant filtré en 2009 dans l’émission de Glenn Beck sur FOX.

Je vous recommanderai fortement de commencer par visionner ceci, étant donné que cela vous fera directement connaître le cœur du mystère – dont quelques bribes ont très courtement fait surface dans les médias officiels, pour aussitôt s’évanouir dans un silence assourdissant :

 http://www.youtube.com/watch?v=ttSmZknU9mI&feature=player_embedded

 Vous aurez noté que G. Beck affirme que FOX a contacté le Département du Trésor à propos de cette affaire pour ne recevoir en réponse qu’une lettre officielle de démenti – qui disait en résumé qu’ils n’avaient pas de commentaires quant à ces 134 milliards de dollars en titres du Trésor américains saisis à la frontière italienne, étant donné que « rien n’était encore prouvé ».

 G. Beck continue ensuite en nous fournissant un certain nombre de chiffres quant aux pays qui détiennent le plus grand nombre de titres du Trésor américain. Il s’agit, dans l’ordre, de la Chine avec 763,5 milliards, du Japon avec 685,9 milliards, du Royaume-Uni avec 152,8 milliards, de la Russie avec 137,0 milliards, et du Brésil avec 126,0 milliards.

 Si l’on se base sur ces chiffres rendus publics, ces 134,5 milliards de dollars en titres du Trésor américain n’auraient pu être produits que par la Russie, le R.-U., le Japon ou la Chine… Personne d’autre. Le montant concerné est si spectaculaire que si la Russie l’avait produit, il ne lui serait plus resté que 2,5 milliards de dollars en titres du Trésor américain !

Joe Wiesenthal, le rédacteur en chef de BusinessInsider.com, a déclaré que s’il s’agissait du bradage de ses titres d’État par un gouvernement donné, ou même d’une affaire de contrefaçon, la portée en était « gigantesque » et « qu’on était face à du jamais vu – pas seulement en termes de proportions mais aussi en termes de sophistication ».

Si l’on avait, selon Wiesenthal, affaire à une contrefaçon de ces titres d’État, « ce serait le genre de technologie qu’on pourrait s’attendre à voir entre les mains d’un gouvernement. »

J. Wiesenthal pense également que l’année d’émission de 1934 de ces titres d’État suggère que tout cela pourrait n’être que de très bonnes imitations.

 D’AUTRES LIENS CONCERNANT L’ÉVOCATION DE CE SCANDALE INITIAL

 Une fois qu’on sait ce qu’on cherche et qu’on creuse un peu, on peut trouver tous les articles les plus significatifs publiés en ligne en juin 2009 à propos de cette étrange histoire, moment où elle a éclaté.

 Ici, l’article initial de Bloomberg sur ce scandale :

http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=newsarchive&sid=ayy1QKcwcGN0

 Ici, le résumé de The Daily Kos quant au lien décrivant ce qui pourrait s’être passé :

http://www.dailykos.com/story/2009/06/13/742096/-Japan,Italy,and-US,-134-Billion-in-US-Bonds-Smuggling-Case

 Ici, un article de The Asia Times sur la question, qui comporte bien plus de détails :

http://www.asianews.it/index.php?l=en&art=15456&size=A

 Dans ces deux articles, The Underground Investor a analysé les preuves et clairement établi à quel point toute cette histoire était véritablement étrange :

http://www.theundergroundinvestor.com/2009/06/the-strange-inconsistencies-behind-the-134-5-billion-bearer-bond-mystery

http://www.theundergroundinvestor.com/2009/07/possible-links-to-a-coming-bank-holiday-in-the-ongoing-134-5-billion-bearer-bond-mystery

 CE PROCÈS EST MAINTENANT UNE RÉALITÉ VISIBLE PAR TOUS

 Depuis que ce bizarre événement s’est produit, la seule suite que cet article ait connue a consisté en une somme hebdomadaire détaillée d’informations issues d’insiders et révélées par Benjamin Fulford – l’ancien correspondant en chef de Forbes Magazine pour l’Asie-Pacifique.

 Aujourd’hui, le procès constituant l’épicentre de cette enquête est en définitive devenu une réalité tangible – corroborant tout ce que B. Fulford a dit sur cette mystérieuse affaire depuis sa première occurrence.

Des nuages annonciateurs d’orage menaçaient de détruire la crédibilité de B. Fulford à la faveur d’un unique coup de tonnerre, alors qu’était arrivée, et passée, la date fatidique du 15 novembre 2011 – avec rien à l’horizon –, après des années consacrées par son site à la surenchère et aux tambours et autres trompettes.

 Pourtant, en ce 23 novembre 2011, ces mêmes nuages se sont dissipés. Une longue plainte de 111 pages avait été déposée devant le tribunal fédéral américain de grande instance du District Sud de New York.

Il est aujourd’hui prouvé que cette plainte est officiellement consultable… Comme vous allez pouvoir le constater.

J’ai depuis découvert des centaines de pages d’un matériel aussi élaboré que complexe, des témoins oculaires de premier plan à interroger, et des documents officiels à éplucher. Celui qui s’intéresse à tout cela me manquera pas de « travail à domicile ».

 ALLEZ-Y VOIR PAR VOUS-MÊMES !

 Vous avez ici la fenêtre de recherche qui s’ouvre quand vous vous rendez sur pacer.gov et que vous vous y enregistrez en tant qu’utilisateur pour la somme de huit cents la page. Ce site Internet est un service public qui vous permet d’examiner tout et n’importe quoi en termes d’affaires portées devant les tribunaux américains :

Une fois que vous avez créé votre compte d’utilisateur, entrez le nom « Keenan, Neil » dans la rubrique « Party Name », et vous verrez alors ce qui suit :

 www.editionsnouvelleterre.com

Notez le cinquième nom sur la liste à partir du haut… 2011-cv-8500, enregistré le 23/11/2011. Nous y voilà. Vous pouvez à partir de là cliquer là-dessus, et l’une des pages que vous obtiendrez sera la suivante :

www.editionsnouvelleterre.com

 Vous avez vu cette liste de défendeurs ?

Si la somme d’argent faisant l’objet de ce procès ne devait pas être suffisamment stupéfiante, cette liste de défendeurs devrait alors particulièrement retenir votre attention – car elle comprend

la République italienne, la Brigade financière italienne, le Premier Ministre italien Silvio Berlusconi, le Forum Économique Mondial, Ban Ki-Moon (le Secrétaire Général de l’ONU), et l’ONU elle-même.

 Que diable peut-il bien se passer ici ?

 Si vous ne voulez pas attraper la chair de poule à vous faire suivre par des agents secrets du gouvernement, et si vous ne voulez pas payer 8 cents la page, voici le fichier PDF complet tel qu’il apparaît, une fois que vous l’avez téléchargé

 à partir du site Internet www.pacer.gov – disponible ici même sur notre site Divine Cosmos :

Cliquer pour accéder à Keenan_complaint_11-23-2011_SDNY.pdf

 UN MÉDIA OFFICIEL S’EST SAISI DE L’HISTOIRE LE 5 DÉCEMBRE 2011

 Dan McCue a commencé à se poser les mêmes questions que celles que vous pourriez maintenant être tenté de vous poser… Ce qui a eu pour conséquence qu’il a été le premier journaliste officiel à couvrir cette histoire dans Courthouse

News Service, un service d’information national pour les juristes et les médias d’information.

McCue ne se montre pas nécessairement convaincu – l’article est intitulé « Une étrange plainte à mille milliards de

dollars » – mais eu égard au fait que l’affaire est bien réelle, il a de toute évidence été suffisamment intéressé pour lui consacrer un papier.

LE PREMIER ARTICLE OFFICIEL À EXPLORER CETTE STUPÉFIANTE AFFAIRE

Voici une synthèse de ce que McCue a écrit :

http://www.courthousenews.com/2011/12/05/41930.htm

MANHATTAN (CN) – Un Américain expatrié en Bulgarie affirme que les Nations-Unies, le Forum Économique

Mondial, l’Office of International Treasury Control, et le Gouvernement italien ont comploté avec de nombreux

autres pour dérober plus de 1100 milliards de dollars en instruments financiers destinés à des financements à

but humanitaire.

Cette plainte fédérale de 111 pages comprends une série d’entités familières aux tenants de la théorie du com-

plot, parmi lesquelles les Illuminati du Vatican, les francs-maçons, la « Trilateral Trillenium Tripartite Gold Commis-

sion » et la Réserve Fédérale américaine.

Le plaignant Neil Keenan affirme s’être vu confier lesdits instruments financiers en 2009

– lesquels comprenaient des billets de la Réserve Fédérale américaine pour une valeur de 124,5 milliards de

dollars, deux titres du gouvernement japonais d’une valeur nominale totale de 19 milliards de dollars et un titre

« Kennedy » d’une valeur nominale de 1 milliard de dollars – par une entité appelée « La Famille du Dragon », qui

représente un ensemble de plusieurs familles asiatiques fortunées cultivant le secret.

« La famille du Dragon ne tient pas à être publiquement vue ni connue, mais l’on croit savoir selon certaines

informations qu’elle agit pour le bien et au profit de l’humanité en assurant une constante coordination avec

les échelons supérieurs de certaines organisations financières, en particulier le système de Réserve Fédérale »

affirme N. Keenan.

« Tout au long de son existence au cours du siècle passé, La Famille du Dragon a accumulé d’immenses richesses

en ayant consenti à l’attribution d’actifs à la Banque de Réserve Fédérale et au gouvernement des É.-U. sous

la forme d’or et d’argent par le biais de comptes ouverts en Suisse, actifs pour lesquels ils ont été rétribués en

billets de banque, titres et certificats tels que ceux qui ont été décrits […] qui représentent autant d’obligations

de la Réserve Fédérale. »

N. Keenan affirme qu’avec les intérêts accumulés, ces instruments ont aujourd’hui une valeur de plus de 1000

milliards de dollars. Il précise que La Famille l’a désigné comme son représentant pour tenter de sélectionner

http://www.editionsnouvelleterre.com

un certain nombre de programmes enregistrés et autorisés d’investissement à placements privés {Private Place-

ment Investment Programs ou PPP ds. le txt (N.d.T.)} au profit de démarches humanitaires internationales non

précisées.

Dans cette plainte peu ordinaire, N. Keenan affirme que le gouvernement américain [a reçu] d’énormes quantités

d’argent – remises sous forme d’or et d’autres métaux précieux – de la part de La Famille du Dragon il y a de

nombreuses années de cela, et que cet argent avait été placé dans le système de Réserve Fédérale au profit

du Dollar et pour en garantir la valeur, « lequel était appelé à devenir la devise mondiale de réserve, ce qu’il est

toujours aujourd’hui » […].

L’objet de cette plainte est constitué par une histoire complexe, avec des parts en mouvement et des dettes de

personnages internationalement connus et inconnus, dont la conséquence est que N. Keenan affirme s’être fait

confier des milliards de dollars en titres par La Famille du Dragon […].

[Ces instruments ont ensuite été dérobés du fait que deux agents japonais ont tenté de les faire passer d’Italie en

Suisse, à l’intérieur de la sacoche que vous voyez sur la photo figurant en tête de l’article.]

[N. Keenan] affirme qu’à mesure que le complot continuait à perdurer, plusieurs hauts fonctionnaires lui ont à

plusieurs reprises offert un pot-de-vin de 100 millions de dollars pour « libérer » ces instruments sans avertir La

Famille du Dragon de leur vol, et pour permettre à ceux-ci d’être convertis au profit d’un soi-disant « Programme

Souverain » de l’ONU, placé sous les pleins auspices, la protection et l’égide de la souveraine immunité dont

jouissaient les défendeurs.

On trouve, parmi les autres défendeurs, Ban Ki-Moon, le Secrétaire Général de l’ONU, l’ancien Premier Ministre

italien Silvio Berlusconi, Giancarlo Bruno, désigné en qualité de responsable de l’industrie bancaire pour le

Forum Économique mondial, Cesare Maria Ragaflini, l’Ambassadeur d’Italie auprès de l’ONU, Ray C. Dam, le

président de l’Office of International Treasury Control (OITC), et David A. Sale, le directeur adjoint du Conseil de

Cabinet de l’OITC.

N. Keenan cherche à se faire restituer les instruments volés, et à se faire verser de gros dommages et intérêts

en s’appuyant sur de multiples plaintes pour fraude, rupture abusive de contrat et violation de lois internationales.

Il est représenté par William H. Mulligan Jr., du Cabinet Bleakley, Platt & Schmidt de White Plains, N.Y.

Cela vous intéresse ? Je vous encourage alors à consulter le site de Courthouse News Service, étant donné le vrai

grand travail qu’accomplit D. McCue pour résumer le reste de l’affaire.

 

VOUS VOUS MOQUEZ SÛREMENT DE MOI…

Courthouse News Service n’a pas vraiment eu les tripes de citer l’un des paragraphes les plus intéressants de toute

la plainte. Mais moi je vais le faire… C’est là que toute l’histoire a pour moi réellement commencé à prendre forme :

On pense selon certaines informations que ces titres [détenus par La Fa mille

du Dragon] on t une valeur s’élevant à des dizaines de millions de milliards

de dollars américains, une portion relativement peu importante de cette

somme étant impliquée dans les plainte s faisant l’objet de cette proc édure.

Chaune de ces devises, à l’inst ar d es IFFD [Instruments financiers de la Famille

du Dragon] impliqués dans cette pro cédure, a été et demeure dûment enregistrée

au sein du Sy stème de Réserve Fédér ale – et celles-ci peuvent directement

faire l’objet d’une vérification de la part la Réserve Fédérale eu égard à

l’efficacité de son système de vérification et de ses procédures de recherche approfondie.

 

Des millions de milliards de dollars ? Vous vous moquez SÛREMENT de moi ! À partir du moment où j’ai lu cela, il me fallait en savoir plus, car que je disposais de suffisamment d’informations pour être convaincu qu’il ne s’agissait pas là d’un procès fallacieux. J’ai ainsi immédiatement programmé une interview avec Benjamin Fulford pour mettre tout cela

au clair.

La vérité, c’est que La Famille du Dragon avait destiné ces titres à être volés. Ceux-ci représentaient seulement une petite portion de l’ensemble du capital… Dont la totalité est clandestinement enregistrée au sein de la Réserve Fédérale et de la Banque des Règlements Internationaux !

 

B. Fulford a, lors de cette interview, fait l’introduction de cette histoire – et au fur et à mesure que le temps s’écoulait, j’ai découvert un bien plus grand nombre de choses.

C’est un coup monté de main de maître qui nous a menés au point où nous en sommes aujourd’hui – là où une vaste alliance de 117 pays a maintenant un moyen légal de mettre fin à la tyrannie du Vieil Ordre Mondial.

 

UN NOMBRE AHURISSANT D’INFORMATIONS

 

Cela fait maintenant plus de trois semaines que je travaille d’arrache-pied sur cette affaire – ce qui me paraît être une éternité au vu de mon existence du moment, et eu égard à tous les autres lièvres que je suis en train de courir à la fois.

Le nombre des informations à assimiler ici et à mettre en lien, comme la complexité qui préside à l’assemblage de tous ces éléments, sont ahurissants.

 

J’ai maintenant établi un contact solide avec Neil Keenan, le principal plaignant de cette affaire, ainsi qu’avec Keith Scott, qui y est également mentionné. Scott est un expert en ce qui concerne cet univers éminemment secret des échanges entre banques centrales – et il est parfaitement informé des immenses richesses qui les sous-tendent, toutes

détenues en vertu du secret le plus rigoureux.

 

N. Keenan n’a jamais travaillé pour quelque gouvernement ou organisation clandestine qui soient. C’est un homme d’affaires qui a fini par entrer en relation avec La Famille du Dragon – l’ancienne faction dirigeante de la Chine avant qu’elle ne devienne communiste – et il a ainsi pu gagner leur confiance.

 

J’ai maintenant personnellement examiné plus de 300 photographies distinctes et des dizaines de documents différents que N. Keenan m’a envoyé en lien avec cette affaire – parmi lesquels l’aujourd’hui tristement célèbre Livre de Maklumat.

Ils sont tous on ne peut plus complexes – et on ne peut plus incontestables. Tout cela s’est matérialisé après que j’aie mené l’interview de B. Fulford que vous êtes sur le point d’entendre… Et de lire.

Toute cette histoire est vraie. Dramatiquement vraie.

Il s’agit du seul vrai gros problème que les Pouvoirs en Dérive aient jamais eu. Et ceci est également synonyme d’extrêmement bonne nouvelle pour tous les autres.

 

DES VALIDATIONS EN MASSE

 

Dans un cas particulièrement remarquable de validation personnelle, j’ai envoyé à N. Keenan un e-mail comportant une description, donnée par l’un de mes meilleurs insiders, de ce à quoi pouvait vraiment ressembler les boîtes contenant ces titres d’État. Aucune de ces informations-là n’a jamais été mise en ligne.

Moins de 15 minutes plus tard, N. Keenan m’envoyait des dizaines de photos qui correspondaient précisément à la description que je venais juste de lui donner. J’en suis resté totalement ahuri. Il n’y a aucun moyen imaginable pour qu’il ait été en mesure de falsifier quelque chose de la sorte en l’espace de quinze minutes.

Il n’est pas encore certain que je publie la moindre de ces images. La dernière chose qui me viendrait en effet à l’esprit serait de nuire à cette affaire d’une manière ou d’une autre, chose qui pourrait également enfreindre des lois internationales – en donnant ainsi un moyen facile de m’attaquer aux factions loyales de nos opposants.

 

Nous avons néanmoins bien une image dont nous pouvons vous faire part sans risque. Il s’agit ici encore une fois de la photo publiée par les médias italiens après que ces titres ont pour la première fois été saisis :

Mais ne perdons pas plus de temps. Vous trouverez ci-dessous le lien pour télécharger le fichier MP3 Haute Qualité de 98 mégas de cette étonnante interview de 98 minutes… suivi de sa transcription que j’ai postée ici avec des liens que vous pourrez consulter par vous-mêmes :

 

INTRODUCTION

 

http://divinecosmos.com/podcasts/Wilcock_Fulford_2011-12-02.mp3

 

DW : Hello, c’est David Wilcock, et je suis ici en compagnie de Benjamin Fulford pour un nouveau blog audio de DivineCosmos.com

 

J’interroge aujourd’hui Benjamin Fulford, et nous serions, à l’heure de Los Angeles, en Californie, le 28 novembre 2011, un lundi – presque un mardi pour Ben.

La raison pour laquelle nous faisons cette interview, c’est que Ben parle, depuis très longtemps maintenant, d’une contre-insurrection qui vise ce que j’adore appeler le Vieil Ordre Mondial, qui réunit des personnages issus du monde entier.

Le lancement de [cette contre-insurrection] est le fait d’une société secrète asiatique.

 

LA BONNE FOI DE BENJAMIN FULFORD

 

DW : Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant, j’aimerais quelque peu établir ici la bonne foi de Benjamin Fulford, pour qu’on ne pense pas qu’il soit venu là pour faire sa propre promotion.

Ben a été le correspondant en chef de Forbes Magazine pour l’Asie-Pacifique. Il a derrière lui un long vécu de journaliste professionnel paré de diplômes universitaires.

Comme vous l’aurez découvert à travers les autres interviews qu’il a faites, dont certaines sont sur mon site, il s’est trouvé plongé dans tout un univers d’intrigues à partir du moment où il a commencé à examiner où allait l’argent qui provenait de l’économie japonaise.

Il s’est ainsi aperçu que cette stimulation économique qui pouvait être générée au profit de la planète n’étaient pasutilisés à des fins positives – et il semblait y avoir beaucoup d’argent à disparaître.

Il a au fil de son enquête été amené à recevoir des menaces de mort et à se faire recruter par une société secrète asiatique pour établir un contre-pouvoir vis-à-vis des gens du Vieil Ordre Mondial.

 

VENDRE SON ÂME

 

DW : [Le Vieil Ordre Mondial] a également tenté de le réduire au silence et de le corrompre en lui offrant – je ne saisplus, Ben, c’était une fonction d’ambassadeur qu’ils voulaient t’offrir, ou quelque chose comme ça ?

BF : Un moment, ils m’ont offert de devenir Ministre des Finances du Japon.

DW : Ministre japonais des Finances – c’est ça.

BF : Ils m’ont également offert, crois-le ou pas, General Electric et General Motors.

DW : Vraiment ?

BF : Oui.

DW : Comme quoi, tu en deviendrais le PDG, ou autre chose ?

BF : Oui, et sans doute le principal actionnaire.

Le problème, bien sûr, c’est que j’aurais dû m’impliquer dans leur projet de tuer quatre milliards de personnes. C’est la situation classique où l’on « vend son âme au diable ».

DW : Exact. Ils ont tout simplement besoin d’alléger la charge et de se débarrasser des excédents, comme ils aiment à le formuler.

BF : Eh oui, ils veulent sauver l’environnement et se débarrasser des « bouches inutiles ».

DW : Exactement.

 

FULFORD N’A ÉMERGÉ QUE QUAND IL A EU UNE PROTECTION

DW : Maintenant , camarade, laisse-moi te dire que je suis sur Internet depuis 1996. J’ai moi-même fait des apparitions en public à partir de 1998. Je t’ai suivi depuis le tout début de tes interventions.

Je t’ai tout de suite remarqué – je pense que tu as émergé en 2007 – c’est exact ? Quelque chose comme ça ?

BF : Oui, ça devait être autour de cette époque-là. J’avais fait des recherches sur un tas de trucs avant ça, mais j’ai senti que c’était dangereux de me montrer au grand jour, parce que je savais qu’ils voudraient me tuer.

Ça n’a pas été avant d’avoir une protection que j’ai été en mesure d’intervenir et de commencer à dire tous ces trucs.

DW : D’accord.

 

PLUS DE TRENTE LIVRES ET AU-DELÀ D’UN MILLION D’EXEMPLAIRES VENDUS

DW : Et c’est vrai que tu es un auteur à succès au Japon – combien as-tu de livres présents en librairie et combien d’exemplaires en as-tu vendus ?

BF : Je ne sais pas. Plus de 30 livres et, je ne sais pas, peut-être un million en tout. Je n’ai pas gardé de traces.

DW : 30 titres, c’est plutôt substantiel.

Tu es parfaitement bilingue. Personne ne peut te le contester. Il y a plein de vidéos où l’on peut te voir parler couramment le japonais.

 

POURQUOI T’A-T-ON CHOISI POUR QUELQUE CHOSE COMME ÇA ?

DW : J’ai vu qu’on avait interminablement reproduit les commentaires haineux de toutes sortes que quelqu’un t’avait balancé.

Le plus fréquent est qu’on ne peut tout simplement pas adhérer à ton histoire. Ils pensent qu’il est trop peu vraisemblable que ces sociétés secrètes asiatiques t’aient contacté.

Je vois bien que tu es bilingue, et que tu es un journaliste financier crédible qui est par la suite devenu un auteur à succès. Tu es plutôt connu pour ces, d’après ce que tu dis, 30 livres que tu as au Japon.

Il n’y a pas d’autre gaïjin – c’est le mot qu’ils utilisent pour les étrangers – il n’y a que je sache pas d’autre gaïjin au Japon, aucun autre blanc là-bas qui fait ce que tu as fait.

Par conséquent, qui d’autre auraient-ils choisi pour quelque chose comme ça – pour essayer de tendre la main au

monde occidental ?

 

B. FULFORD POUVAIT SE PERMETTRE UN JOURNALISME PLUS AGRESSIF

BF : C’est sûr, mais regarde. Il faut que tu réalises qu’il y a deux ou trois raisons pour lesquelles je suis tombé dans cette niche particulière.

L’une d’elles, c’est que j’écrivais un tas de trucs qui m’auraient valu d’être tué si j’avais été un journaliste japonais.

DW : Oh, vraiment ?

BF : Mais étant donné que j’étais un étranger travaillant pour Forbes, j’étais intouchable.

DW : C’était des choses qui auraient suscité un tollé dans le gouvernement, ou des choses qui auraient été insultantes pour l’Empereur ? Que veux-tu dire par là ?

 

LE GOUVERNEMENT COLONIAL SECRET QUI DIRIGE LE JAPON

BF : Je parle ici essentiellement du gouvernement colonial secret.

DW : D’accord [DW : Plus avant dans l’interview, B. Fulford indique que le Japon est secrètement dirigé par les Rothschild depuis la période Meiji].

BF : Ils utilisent un réseau de Nord Coréens et de gangsters, et des Japonais corrompus. Ils emploient la corruption et le meurtre pour faire de ce pays une colonie qui n’est un pays indépendant qu’en façade.

DW : Je voudrais maintenant qu’on revienne là-dessus, mais rapidement…

BF : [Parle en même temps] OK, mais laisse moi juste te dire comment j’ai été impliqué là-dedans, en résumant très rapidement les choses.

DW : OK.

 

À PARTIR DE 2006, IL ÉCRIT DES LIVRES DÉNONÇANT LE 11 SEPTEMBRE

BF : À la base, j’ai commencé à écrire des livres en japonais.

DW : C’était en quelle année, approximativement ?

BF : Je crois que ceux qui ont causé des problèmes sont sortis autour de 2006. Je parlais essentiellement des choses sur le 11 Septembre qui avaient été découvertes par de nombreux chercheurs occidentaux.

DW : C’était par conséquent avant même que tu n’apparaisses chez Rense ou quoi que ce soit d’autre en Occident ?

BF : Oui.

DW : OK.

 

DÉNONCIATION DU « SRAS » EN TANT QU’ARME BIOLOGIQUE VISANT LES ASIATIQUES

BF : Et ensuite, j’ai fait sortir un livre au Japon qui mettait l’accent sur le fait que le SRAS était une arme biologique qui avait été conçue pour tuer des gens de race non-caucasienne.

DW : Le SRAS, pour ceux qui ne s’en souviendraient pas, c’était la grippe aviaire.

BF : Je citais des extraits de documents rédigés par les NeoCons, comme le Project for a New American Century.

Ces documents faisaient très clairement ressortir qu’il y avait un groupe d’élitistes occidentaux qui projetait de déclencher une troisième Guerre mondiale et de réduire la population de la Terre.

 

IL A SUGGÉRÉ QU’ILS INTERROMPENT LES FLUX FINANCIERS

BF : [J’ai également avancé l’argument que] les Asiatiques arrêtent ça en bloquant leurs flux financiers – parce qu’ils avaient besoin de l’argent des Japonais et des Chinois pour financer ce projet démentiel.

Il y a eu un ordre émanant de la pègre japonaise comme quoi il fallait que je sois abattu.

DW : Ça peut se comprendre, si tu commences à mettre ton doigt [là où il ne faut pas…].

 

ON LUI A OFFERT DE LE PROTÉGER – ET IL A APPRIS L’EXISTENCE DES FRANCS-MAÇONS

BF : La police secrète sud-coréenne a ensuite parlé aux Chinois – et les Chinois ont envoyé une société secrète pour m’offrir leur protection.

C’est comme ça que je me suis retrouvé impliqué dans un univers dont j’ignorais à ce moment-là jusqu’à l’existence.

Si tu m’avais parlé avant ça des francs-maçons, je t’aurais gratifié d’un petit rire nerveux et d’un haussement d’épaules, voilà tout.

DW : Leur poignée de main est plutôt bizarre, et ils financent des œuvres caritatives, et ainsi de suite. D’accord.

 

« LES CHINOIS » AVAIENT PLACÉ BOHEMIAN GROVE SUR ÉCOUTE

BF : L’autre chose, c’est que les Chinois avaient eux-mêmes placé l’une des conférences de Bohemian Grove sur écoute.

Ils étaient parfaitement au courant de ce projet de déclenchement d’une troisième Guerre mondiale, et ils tentaient de le bloquer.

C’est de cette manière que je me suis retrouvé impliqué là-dedans, quand ils ont réalisé qu’on m’avait mis sur une liste de personnes à abattre pour avoir tenté de les avertir de quelque chose dont ils étaient déjà au courant.

 

QUE VEUX TU EXACTEMENT DIRE PAR « LES CHINOIS » ?

DW : OK. Une chose. En te parlant, je rebondis également sur le fait que quand nous avons publié des articles dans le passé, nous avons reçu deux cents ou trois cents commentaires écrits à leur propos.

Je suis en mesure de lire ce tout qu’ils disent et quelles réactions on a. J’essaie de ne pas seulement parler pour moi, mais également pour tout le monde.

Je pense que ce qui n’a pas été compris dans d’autres interviews, qui a semé la confusion parmi les gens, c’est quand tu dis « les Chinois » : les gens songent tout de suite à ce gouvernement répressif que tout le monde connaît.

Il brûle les logements des gens au Tibet. Il restreint l’accès à YouTube. Il limite les libertés. Il empêche les gens de défiler sur la place TienanMen.

À la base, c’est tout simplement ce monstre qui écrabouille les droits de l’Homme.

 

C’EST UNE SOCIÉTÉ SECRÈTE ASIATIQUE

BF : OK. Je pense que j’ai fait une erreur en disant « les Chinois ».

DW : D’accord.

BF : J’aurais dû dire l’Asie. Ça dépasse les limites de la Chine. Ça implique l’Indonésie, les Philippines, la Thaïlande, le Japon, Taïwan et la Corée.

En fait, ça se réfère directement au groupe des nations non alignées – un groupe de 77 nations qui comprend même des endroits comme la Yougoslavie.

Je me trompais en appelant ça les Chinois. C’est une société secrète asiatique, pas une société secrète chinoise.

 

LA FAMILLE DU DRAGON

DW : Maintenant corrige-moi si je me trompe, mais la Chine a été nommée ainsi d’après l’empereur Qin, qui appartenait à La famille du Dragon. C’était la première Dynastie chinoise, exact ?

BF : Oui.

DW : Par conséquent, ces gens-là… C’est celui qui a fabriqué les soldats en terre cuite, quand il a pris chaque soldat et chaque cheval de son armée pour en faire une sculpture en pierre.

Il y a toutes sortes de faits intéressants sur la façon dont cette Famille du Dragon est apparue. À la base, ils ont effacé toute l’histoire de la Chine antérieure à cette époque-là, qui est maintenant reconstituée par certains érudits.

Ces sociétés secrètes asiatiques semblent avoir une forme dynastique. Elles ont largement été présentes dans les coulisses. Elles ont amassé un grand nombre de richesses.

Ça fait partie de ce qui nous occupe maintenant. C’est ce dont en est en train de parler. Exact ?

 

DES SOCIÉTÉS SECRÈTES CONCURRENTES, ORIENT ET OCCIDENT

BF : Il faut se rappeler qu’il y a plusieurs groupes différents qui se font concurrence.

Tu as à la base un truc similaire en Asie et en Occident. Tu as des sociétés secrètes qui sont en lien avec d’anciennes lignées dynastiques.

En Occident, ce serait les Rothschild, la famille royale britannique, les francs-maçons et la Loge P2.

En Asie, ce serait les Familles du Dragon, je pense. Ce serait toutes les différentes familles dynastiques et regroupement de clans fondés sur les liens familiaux.

Mais, en Occident, tu avais un groupe différent. Ça prête à confusion, parce qu’il y a plusieurs groupes qui s’appellent

« Illuminati ».

 

CERTAINS GROUPES SE SONT OPPOSÉS AU PRINCIPE DE LA LIGNÉE DE SANG

BF : Il y a un groupe qui m’a contacté, et ils m’ont apporté la preuve qu’ils étaient en lien avec diverses organisations et des cercles de trafiquants de drogue.

Ils affirment que ce sont eux qui ont initié les révolutions française, américaine et russe, et qu’ils sont opposés au principe de la lignée de sang.

[DW : J’ai déjà mentionné à Ben que cela sonne comme une faction rivale constituée du même genre de personnes, qui essaie de se réinventer. Il m’a précisé qu’il n’était pas avec eux, pas plus qu’il ne les soutenait – il se contente d’écouter ce qu’ils ont à dire.]

De la même manière, les Asiatiques ont une société secrète qui est également fondée sur la méritocratie. Elle est aussi opposée au principe de la lignée de sang.

Les triades chinoises, les groupes de Yakuza japonais et divers autres groupes secrets asiatiques ont des règles strictes contre le népotisme.

Le fils d’un chef de gang ne pourrait jamais reprendre le gang de son père.

Elles sont liées à des sociétés d’Arts martiaux et aussi à des chambres de commerce.

Il n’y a pas de séparation claire entre les chambres de commerce et des gangsters hors-la-loi pourchassés par la police.

On n’y voit pas très clair. Tout en clair obscur, tu sais ?

Que soit en Orient ou en Occident, tu as des sociétés secrètes méritocratiques et des sociétés secrètes fondées sur une lignée de sang.

 

LES SOCIÉTÉS SECRÈTES ASIATIQUES ONT-ELLES DES PRATIQUES MALSAINES ?

DW : Pourrais-tu juste nous faire un bref exposé… Un grand nombre de gens sont complètement traumatisés quand ils entendent parler de choses comme les Illuminati.

Dès que tu dis un truc comme ça, on assiste à des manifestations de paranoïa – on assiste à des manifestations de peur et d’anxiété.

Alors quand tu dis qu’il y a en Asie ces sociétés dynastiques relevant des liens du sang – que ce sont des sociétés secrètes –, est-ce qu’ils sacrifient des bébés ? Est-ce qu’ils boivent le sang des gens ? Est-ce qu’ils ont des rituels sataniques ?

[DW : C’était une question dont je connaissais déjà la réponse, mais je voulais qu’il clarifie les choses. Il a continuellement affirmé que les sociétés secrètes asiatiques étaient vigoureusement opposées à ces pratiques occultes, et qu’elles voulaient contribuer à un monde meilleur.]

De quoi est-il ici question, si l’on se demande : qui sont ces gens ? Quel est leur mode de pensée ? Quelle est leur philosophie ? Que veulent-ils ?

Veulent-ils prendre le pouvoir sur la planète ? Se battent-ils contre les Illuminati pour contrôler la planète ?

Quel est leur agenda ?

 

ILS VEULENT UN SYSTÈME PLUS ÉQUITABLE, QUI NE SOIT PAS DOMINÉ PAR L’OCCIDENT

BF : Ils pensent que la maîtrise de l’avenir de la planète ne devrait plus être le fait d’une petite élite d’Occidentaux.

Ils la verraient plutôt passer sous le propre contrôle des peuples de la planète.

En Chine, y a bien sûr un groupe d’individus chauvins qui disent que c’est la Chine qui devrait diriger le monde.

Mais le consensus qui prévaut dans l’ensemble de l’Asie, c’est que cela concerne tous les peuples du monde à parts égales – pas seulement les affaires d’une famille chinoise ou d’une famille contrôlée par les Khasars.

Ce qu’ils disent publiquement, je crois, c’est réellement ce qu’ils attendent en ce moment – c’est-à-dire un monde multipolaire, pas un monde contrôlé par un seul groupe.

 

 


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La vidéo qui dérange …. l’Eglise de Scientologie et son si célèbre porte-parole Tom Cruise

Tom Cruise scientologue interview interdite sous-titrée fr from RoTuLette on Vimeo.


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Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire »

(7 mai 2012)

Et si, après une stressante campagne électorale, on respirait un peu ? Quelle société voulons-nous aujourd’hui construire ?
« La croissance est un problème, pas une solution », affirme Pierre Rabhi, paysan-philosophe.

Face à la disparition des questions écologiques dans le débat politique, et à la frénésie marchande qui nous a pris en otages, il invite à repenser la vie sur un mode à la fois « sobre et puissant ».
Et à inventer, pour éviter des explosions sociales et un chaos généralisé, un autre modèle de civilisation.
Entretien.

Basta ! : Vous défendez une société de la sobriété. Les crises actuelles et l’austérité qui menace vont-elles permettre de remettre en question le système économique dans lequel nous vivons ?
Pierre Rabhi [1] : Je ne me réjouis pas de cette situation, mais je me dis finalement que l’être humain a besoin d’entrer dans des impasses pour mieux comprendre. Les impasses peuvent soit finir sur un chaos généralisé, soit permettre d’initier autre chose. Le chaos est tout à fait possible : une sorte de cocotte-minute d’incertitudes et d’inquiétudes est en train de miner les âmes et les consciences. Qu’une seule ville explose et toute la France explose. Le problème aujourd’hui n’est pas de se réjouir de cela, mais de voir ce qu’on peut tirer de cette évolution.
Notre modèle de société montre son inadéquation, son incapacité à continuer. Si nous nous y accrochons, ce sera le dépôt de bilan planétaire. Tous les pays émergents veulent vivre à la moderne. Où va-t-on puiser les ressources ? C’est totalement irréaliste.
Il y a aujourd’hui à repenser la vie sur un mode qui soit à la fois sobre et puissant. Je crois beaucoup à la puissance de la sobriété. Je ne crois pas à la puissance des comptes en banque.
La vraie puissance est dans la capacité d’une communauté humaine à se contenter de peu mais à produire de la joie. Notre société déborde de tout, mais nous sommes un des pays les plus consommateurs d’anxiolytiques, pour réparer les dégâts que produit la « société de la matière » !
Nous sommes une espèce de planète psychiatrique. Combien de souffrances produisons-nous ?

Pendant la campagne électorale, l’écologie a quasiment disparu du débat politique. Qu’en pensez-vous ?
C’est parce que les citoyens ne sont pas véritablement conscients de l’enjeu de l’écologie que nous sommes obligés d’avoir une écologie politique pour lui donner une place au forceps.
Dans la réalité, l’écologie concerne absolument tout le monde. Je suis évidemment reconnaissant envers ceux qui essayent de placer l’écologie dans le débat politique. Mais c’est une anomalie. Car l’écologie est une affaire de tous. C’est ce qui détermine l’existence de tout individu, du phénomène de la vie. Nous sommes donc tous concernés.

Selon vous, le progrès technologique nous asservirait ?
La civilisation moderne est la civilisation la plus fragile de toute l’histoire de l’humanité. Plus d’électricité, de pétrole, de télécommunications et la civilisation s’écroule. Elle ne tient sur rien du tout.
Le progrès ne libère pas. Plusieurs avancées ont apporté un certain bien-être. Mais ce bien-être n’est pas forcément partagé.
Il faut que l’humanité se pose la question : le progrès, pour quoi faire ? Et avant : qu’est-ce que vivre ? S’il s’agit juste de consommer, je n’appelle pas ça la vie, cela n’a aucun intérêt. Nous sommes devenus des brigades de pousseurs de Caddie. Cela me terrifie. Nous sommes revenus au néolithique : nous sommes des cueilleurs, nous passons dans les rayons et nous cueillons. Tout cela n’est pas bon. On a évoqué la décroissance, qui est considérée comme une infamie dans le monde d’aujourd’hui : remettre en cause la croissance ! Au Moyen Âge, j’aurai été brûlé vif.

Peut-on se passer de l’industrie et du progrès technologique sur une planète qui comptera bientôt 9 milliards d’êtres humains ?
Le progrès technologique ne rétablit pas de l’équité dans le monde, au contraire. Une minorité en bénéficie. Ce ne sont pas les pays en voie de développement qui consomment le plus de voitures ou de frigos. C’est un leurre de dire que la planète ne pourra pas suffire, parce que nous serons plus nombreux. C’est une injustice totale : sur 7 milliards d’humains aujourd’hui, la moitié n’a pas accès à la nourriture pendant que les autres se bâfrent et gaspillent à outrance. Un cinquième de l’humanité consomme les 4/5es des ressources produites. Ce serait très pernicieux d’invoquer la démographie pour dire qu’on ne va pas s’en sortir. Non ! Plusieurs milliards d’humains ne s’en sortent déjà pas. Ce ne sont pas les pauvres qui épuisent les ressources. La démographie n’est pas en cause. Je sens cet argument s’insinuer de façon très vicieuse.

Pourquoi, après avoir été ouvrier, avez-vous choisi de devenir paysan ?
J’ai accompli mon retour à la terre, ici en Ardèche, en 1961, parce que je considère que notre système n’a pas d’intérêt. Je n’ai pas envie d’être né pour produire, pour consommer et mourir. C’est une destinée un peu limitée ! Je suis né pour vivre, je suis né pour admirer. Si on doit toute sa vie besogner pour que les poubelles débordent de déchets, cela n’a aucun sens.
Il n’y a pas si longtemps, en mai 68, les jeunes défilaient dans les rues pour protester contre la société de consommation. C’était l’excès. Leur intuition était forte : nous ne sommes pas des consommateurs. Les gagneurs d’argent, la frénésie marchande nous ont pris en otages pour faire de nous des gens qui doivent absolument consommer pour faire monter le produit national brut.
C’est complètement stupide. Les jeunes disaient : on ne tombe pas amoureux d’un produit national brut ! Ils lançaient des slogans très importants, qui étaient un appel à la vie. Nous ne vivons pas : nous sommes conditionnés, endoctrinés, manipulés, pour n’être que des serviteurs d’un système. Ils ressentaient ce besoin de sursaut de la vie. Depuis, je ne vois plus les jeunes défiler dans la rue pour dire qu’ils ont trop. Nous sommes au contraire entrés dans la phase du manque.
Les certitudes d’une idéologie triomphante, c’est terminé ! Aujourd’hui, les jeunes ne savent pas quelle place ils auront et s’ils auront une place dans l’avenir. Ce système-là peut-il encore perdurer ? Non. Il ne faut donc pas s’illusionner et se raconter des histoires : notre système arrive à ses limites. Il faut maintenant que l’imagination se mette en route, pour en créer un autre.

D’où peut venir le changement ? D’abord de chaque individu ou de transformations portées collectivement ?
Vous pouvez manger bio, recycler votre eau, vous chauffer à l’énergie solaire, tout en exploitant votre prochain, ce n’est pas incompatible !

Le changement radical de la société passe par une vision différente de la vie.

L’humain et la nature doivent être au cœur de nos préoccupations. Le rôle de l’éducation est souverain : et si on éduquait les enfants au contentement et non à l’avidité permanente ? Une avidité stimulée par la publicité, qui affirme qu’il nous manque toujours quelque chose. Cette civilisation du besoin chronique et permanent, sans cesse ressassé, installe dans les esprits la sensation de manque. Le phénomène de la vie, ce qui fait que nous existons, devrait avoir une place dans l’éducation des enfants. Or nous n’avons que des structures éducatives qui occultent complètement les fondements de la vie pour, le plus vite possible, fabriquer un petit consommateur et un petit producteur pour le futur. Cela en fait un petit ignorant qui s’occupera bien davantage de savoir comment il va avoir un bon boulot malgré la compétitivité.

L’exigence fondamentale, c’est que tout le monde puisse manger, se vêtir, se soigner. Voilà ce qu’une civilisation digne de ce nom devrait pouvoir fournir à tout le monde. Aucun bonheur n’est possible sans la satisfaction des besoins vitaux. Notre civilisation a la prétention de nous libérer alors qu’elle est la civilisation la plus carcérale de l’histoire de l’humanité. De la maternelle à l’Université, nous sommes enfermés, ensuite tout le monde travaille dans des boîtes. Même pour s’amuser on va en boîte, assis dans sa caisse. Enfin, on a la boîte à vieux quand on n’en peut plus, qu’on est usé, avant de nous mettre dans une dernière boîte, la boîte définitive.

Comment convaincre ceux qui profitent le plus de la société de consommation et d’accumulation ?
Qui enrichit ces gens-là ? C’est nous. Ils s’enrichissent parce que des gens insatiables achètent de plus en plus, parce que toute une communauté humaine leur donne les pleins pouvoirs.
Ils n’existent que parce que nous les faisons exister.
Je ne roule pas en char à bœufs mais en voiture, je pollue malgré moi, j’ai le confort moderne. Ce qui fausse tout, c’est que cela devient prétexte à un enrichissement infini. Ce serait différent si les objets fabriqués par le génie du monde moderne avaient vocation à améliorer la condition humaine. Nous donnons très peu de place à ce qui est indispensable, à ce qui amène véritablement la joie. Et nous ne mettons aucune limite au superflu.

Cela signifie donc s’attaquer aux puissances de l’argent ?
L’argent est noble quand il permet l’échange. C’est plus facile d’avoir quelques billets dans sa poche que de transporter deux kilos de pommes de terre. L’argent n’est pas à récuser dès lors qu’il participe au mécanisme de régulation du bien-être entre tous. Mais quand il régule seulement la richesse, non.
Toutes les choses vitales, les biens communs – eau, air, terre, semences – devraient être soustraites à la spéculation.
Ceux qui ont de l’argent commettent un hold-up légalisé sur le bien de tous. Un vol illicite mais normalisé par la règle du jeu.
L’argent rend l’humanité complètement folle et démente. Aujourd’hui, on achète le bien des générations futures. Je possède de la terre, mais je suis prêt à dire que ce n’est pas la mienne. Je l’ai soignée pour qu’elle soit transmise à mes enfants ou à d’autres gens.

Comment soustraire les biens communs à ceux qui spéculent ?
Admettons qu’on aille jusqu’à la logique extrême : un jour, un petit groupe d’humains hyperriches va posséder la planète. Aux enfants qui arriveront, on leur dira qu’ils sont locataires. Qu’ils doivent payer leur droit d’exister. C’est stupide. C’est navrant. C’est d’une laideur infinie. Parce que j’ai de l’argent, j’ai le droit sur tout… C’est là que le politique devrait réguler. Mais, pour l’instant, les responsables politiques sont là pour maintenir en vie cette inégalité criante. Ils font de l’acharnement thérapeutique sur un modèle moribond. On peut le mettre sous perfusion tant qu’on voudra… on sait très bien qu’il est fini. Le drame serait que tout cela finisse dans le chaos, si on ne met pas en place une nouvelle orientation de la vie.

Il faut changer les règles du jeu démocratique, dites-vous… Pour aller vers quoi ?
On ne peut pas changer un monstre pareil du jour au lendemain. Ce que je regrette, c’est qu’on ne se mette pas sur la voie du changement. Ce modèle a été généré par l’Europe. La première victime de ce nouveau paradigme, cette nouvelle idéologie, c’est l’Europe elle-même. L’Europe était une mosaïque extraordinaire. Tout a été nivelé, standardisé. Et on a exporté ce modèle partout ailleurs, en mettant un coup de peinture « démocratie » là-dessus. Aujourd’hui ce modèle se délite, il n’a aucun moyen d’être réparé. Il faut aller vers autre chose. Ce que propose la société civile : elle est le laboratoire dans lequel est en train de s’élaborer le futur. Partout des gens essayent de faire autrement. Un État intelligent devrait encourager ça. Sinon, cela se fera sous la forme d’explosion sociale. Une grande frange des citoyens sont secourus par les dispositifs de l’État. Cela ne durera pas. Le jour où la société ne pourra plus produire de richesses, où prendra-t-on ce qu’il faut pour soutenir ceux qui sont relégués ? Nous sommes dans un système « pompier-pyromane » : il produit les dégâts et prétend en plus les corriger. On met des rustines au lieu de changer de système : ce n’est pas une posture politique intelligente.
Recueilli par Ivan du Roy et Agnès Rousseaux
Vidéo : Agnès Rousseaux
Photo : Ivan du Roy

http://www.bastamag.net/article2370.html


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FUKUSHiMA (Japan) (AND THE REST OF THE WORLD)

….To whomever it may concern……

Yesterday (5th of May, 2012), the last Japanese atom based energy generator went of line. Due to Japanes law any generator that went of line for maintenance need to have permission to restart from the « local » government. All generators went of line for maintenance and none have been receiving permision to get back on line. ……

Fukushima – Worse Than Chernobyl

« In 2011 Japan’s Ministry of Science and Technology published the soil contamination data of 60 km area from Fukushima plants.
The result shows the worst contaminated area in Fukushima is 33 times worse than Chernobyl. It proves Fukushima is something nobody has ever gone through. Fukushima is “the next level” of Chernobyl. In Chernobyl, area contaminated worse than 1,480,000 bq/m2 was defined as the worst red zone, “immediate mandatory evacuating area.”

HUSH HUSH NOW, and back to our regular most relevant occupations.

•••

The radiation has absolutely reached the shores of North America.

Water samples from across the continent have tested positive for unsafe levels of radioactivity.

The levels exceeded federal drinking water thresholds, known as maximum contaminant levels, or MCL, by as much as 181 times.

”This means that the complete ecosystem of the Pacific Ocean is now poisoned with radiation

And we aren’t being warned.

••• http://www.setyoufreenews.com/2012/04/03/the-radiation-warnings-you-wont-get-from-the-mainstream-propaganda-machine

https://www.commondreams.org/view/2012/02/25-4

••• listen up ••• http://portland.indymedia.org/en/2012/04/414835.shtml


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DOCUMENTAIRES
‎=== EPOUVANTAILS,
AUTRUCHES & PERROQUETS ===

Une enquête passionnante et édifiante du journaliste Olivier Taymans sur le naufrage médiatique du 11-Septembre.

http://www.dailymotion.com/embed/video/xlh1tp
"Epouvantails, autruches et perroquets – 10 ans… par ReOpen911

Le documentaire analyse la façon dont les grands médias ont eu tendance à occulter les zones d’ombre et les remises en question sérieuses de la version officielle des attentats, tout en dénigrant ceux qui osent douter.
Quiconque se permet de douter est qualifié de conspirationniste, d’antiaméricain, voire d’antisémite ou de négationniste, autant d’épouvantails destinés à verrouiller la parole.

Pourtant, les remises en question de la version officielle des attentats du 11-Septembre sont portées par de nombreux experts qualifiés, parmi lesquels des physiciens, des ingénieurs du génie civil, des pilotes professionnels, des officiers militaires et du renseigment, des leaders politiques … mais vous ne les avez jamais vus à la télévision.

Une enquête sur cet étrange tabou médiatique.

http://www.dailymotion.com/embed/video/xlh1tp
"Epouvantails, autruches et perroquets – 10 ans… par ReOpen911


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http://www.wat.tv/embedframe/268883chuPP3r7987083


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Les Georgia Guidestones sont un monument en granit érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, en Géorgie, près d’Elberton. Construit par la firme Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un anonyme s’étant présenté sous le nom de R. C. Christian.

Dix commandements sont gravés sur les deux faces de 4 pierres érigées verticalement. Ils sont écrits en 8 langues différentes : l’anglais, le russe, l’hébreu, l’arabe, l’hindi, le chinois (mandarin), l’espagnol (castillan) et le swahili.

1. Maintenez l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
2. Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3. Unissez l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4. Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.
5. Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6. Laissez toutes les nations gérer leurs problèmes internes, et réglez les problèmes extra-nationaux devant un tribunal mondial.
7. Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.
8. Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.
9. Faites primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10. Ne soyez pas un cancer sur la terre. Laissez de la place à la nature. Laissez de la place à la nature.
Le premier commandement suscite de nombreuses théories du complot au sujet d’un plan secret pour la réduction de la population mondiale à 500 millions d’individus.

Le second commandement, en parlant de ‘guider’ la reproduction, semble parler de pratiques eugénistes.

Une plaque donne les explications, et promet à tort une capsule temporelle enterrée, « à ouvrir le » sans date précisée.


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Au cours de l’été 2010, j’ai été abordé par un homme très inhabituel, que j’ai appelé Charles (pseudonyme). Charles a travaillé pendant de longues années pour le groupe élitiste qui considère que la responsabilité de gérer la planète lui échoit. Il n’est ni universitaire, ni historien, ni scientifique. Mais il souhaitait communiquer des informations importantes sur la vision mondialiste et la philosophie de ce groupe — vues de leur côté : ce qu’ils essaient de réaliser, pourquoi et comment, le fait que ce groupe souhaite voir se produire ce qu’il appelle une « compétition loyale ».
De nombreux sujets n’ont pas été traités dans l’entretien. Dans une certaine mesure, il s’agit du début d’un dialogue. Le groupe de 33 personnes pour lequel Charles travaille saisit ici indirectement l’occasion de communiquer. J’ai essayé de rapporter cet entretien aussi fidèlement que possible.

Bill Ryan, 1 janvier 2011


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